La zone commerciale des Marceaux est l'espace où la municipalité a fait le choix d'installer des acteurs commerciaux permettant de compléter l'offre de services à la population, tout en positionnant ces activités connues pour générer du trafic au plus loin des secteurs habités (hormis le Hameau de Martigny situé en contrebas, la barrière formée par l'axe de l'A4 est assez structurante de ce point de vue).  

Compte tenu de la situation vis à vis à des axes routiers (RD 934) et aurotoutiers (Sortie A4), cette zone commerciale affiche un dynamisme certain, les enseignes ci dessous sont installés à ce jour:

Super U

Centrakor

Biocoop

Midas

Picard

Restaurant Asiatique Fuwa

Mac Donald's

Des services comme une station essence, un lavage auto, des machines à laver en libre service sont également disponibles.

 

Le milieu associatif colliacien est très riche et diverse. Nous vous en fournissons ici la liste des associations. Lorsqu’une association possède son propre site, l’adresse vous est communiquée. 


Dans tous les cas, n’hésitez pas à contacter la Mairie (01-60-04-02-24) pour tout renseignement complémentaire.

A l'instar de la Zone de Protection du patrimoine Architectural, Urbain et Paysager (ZPPAUP), la commune est riche d'un patrimoine historique, mais aussi de patrimoines établis autour de ses paysages et des demeures qui se sont construites au fil du temps. 

Il est dans les objectifs de l'actuelle municipalité d'agir pour préserver ces patrimoines, mais de le faire sans empêcher notre village d'avancer avec son temps : on ne peut rester éternellement sur les acquis du passé et c'est un équilibre délicat entre ces patrimoines et la volonté d'aménager le village, avec par exemple de nouveaux services comme ceux proposés dans la nouvelle zone commerciale, que nous cherchons à maintenir. C'est bien entendu l'objectif de notre PLU, de par ses zones alternants la préservation des espaces agricoles et nos bois avec les zones constructibles, que de préciser les choix de la municipalité dans ce domaine.

Nous vous proposons ici une description synthétique de notre patrimoine historique, les autres aspects étant disponibles dans les rubriques de l'urbanisme.

L’église Saint-Georges - Eglise Classée "Monument historique"

Couilly possède une église classée monument historique depuis le 23 Mai 1906. En 2006, des morceaux tombant des voûtes avaient contraint la municipalité à restreindre les endroits accessibles au public. Un programme complet de rénovation, établi par l’Architecte en Chef des Bâtiments de France, a été engagé par l’actuelle municipalité et ceci depuis 2012 et ceci sur un programme de travaux complet s’étalant sur plusieurs années.

Une première tranche de travaux, d'un coût total d'environ 500.000€ a été achevée en 2015, financée par l'Etat, la Région Ile-de-France et le Conseil Général à hauteur de 80%, le reste ayant été financé en autofinancement communal.

Si aucun vestige de l’abbaye ne subsiste, en revanche, à Couilly même, l’église paroissiale est un monument historique du plus haut intérêt. Si l’abside présente un joli décor du XVIè siècle, la façade principale refaite a peu d’intérêt, mais entrons vite.
Le mélange des styles surprend. La partie la plus ancienne de l’église est l’étage inférieur du clocher qui constitue la troisième travée de la nef actuelle, prolongée vers l’ouest au XVIIè siècle par deux travées, flanquée de bas-côtés dont l’un, celui du nord, a été ensuite démoli pour la construction d’un presbytère aujourd’hui disparu. La question se pose de savoir si ces deux travées nouvelles ont remplacé une nef plus ancienne ou si, au contraire, on ne se trouve pas en présence d’un ancien clocher-porche analogue à celui de Créteil.
L’existence à l’ouest du clocher de deux contreforts que la construction du XVIIè siècle n’a pas cherché à dissimuler rendrait cette dernière hypothèse plausible. Quoi qu’il en soit, le visiteur admirera les quatre piliers romans qui soutiennent le clocher, surmontés de chapiteaux ornés de feuilles de fougère et de masques que l’on peut dater du premier quart du XIIè siècle, soutenant une des plus anciennes voûtes sur croisée d’ogives.

Les deux travées suivantes de la nef, flanquées de bas-côtés, ont été édifiées au XIIIè siècle, comme en témoignent les quatre piles rondes surmontées de beaux chapiteaux à crochets qui subsistent, mais toute cette partie de l’église a été remaniée au moment de la construction du chœur au XVè siècle. La façon dont la première travée du chœur s’appuie par tout un jeu de colonnettes sur les deux dernières piles du XIIIè siècle vers l’est, n’est pas la moindre curiosité de l’église de Couilly.

Le chœur a enfin été achevé au début du XVIè siècle par la construction du chevet pentagonal éclairé par cinq longues fenêtres et dont les ogives se rejoignent sur une large clef pendante qui a déjà tous les caractères de la Renaissance.

De grands tableaux et diverses pièces de mobilier sauvés de la destruction de l’abbaye de Pont-aux-Dames retiendront l’attention, en particulier sous le clocher une toile longtemps attribuée à Le Brun, représentant le mariage mystique de Ste Élisabeth de Hongrie. Mais on admirera surtout contre la dernière colonne du bas-côté droit, une petite statue de marbre blanc de la Vierge à l’enfant du XIVè siècle, beau spécimen de la fameuse école de Jeanne d’Evreux qui est le joyau de l’église de Couilly.

Enfin, avant la sortie de l’église, le visiteur curieux ne manquera pas de lire sur la face sud de la première pile du clocher, l’inscription rappelant la sépulture, en cet endroit, de Noël et Claude Berthault, dont les ancêtres puis les descendants ont exercé de père en fils la charge de notaire royal à Couilly, sans interruption de 1202 à 1817. On connaît peu de cas d’aussi longues dynasties bourgeoises.

La Maison de Retraite des Artistes Dramatiques de Pont-aux-Dames

Couilly-Pont-aux-Dames est un village très connu pour la Maison de Retraites des Artistes Dramatiques. Cet établissement, construit en 1900 par Constant Coquelin, regroupait non seulement une structure d’accueil pour permettre aux artistes d’assurer un lieu de retraite (car à l’époque, une fois la gloire passée, beaucoup se retrouvaient dans la misère et "terminaient leur vie" dans le dénuement le plus complet), mais également un théâtre "de verdure" externe et un théâtre, salle de spectacle dédiée à l’art dramatique et à la scène.

 

 

 

 

Les moulins et le Grand-Morin

Le Grand-morin et les rivières contribuèrent au développement économique du secteur, ceci jusqu’au début de la révolution industrielle. Le rôle des rivières dans le développement des moulins est d’importance.

Deux autres cours d’eau arrosent la commune de Couilly :

  • le ru du Mesnil ou de Champigny, qui a sa source sur le territoire de Vaucourtois et son embouchure dans le Grand-Morin, au moulin de Pont-aux-Dames,
  • le ru du Corbier, qui a sa source sur le territoire de Quincy et son embouchure dans le Grand-Morin, au moulin de Talmé.

 A noter : moins connus que les moulins du Grand-Morin, on citera les moulins de la rouette et de Champigny, moulins de minoterie, qui s’alimentaient sur le Ru du Mesnil.

Notre village est traversé par une rivière, le Grand-Morin, mais aussi deux de ces affluents : le Ru du Corbier et le Ru du Mesnil. Ces enfants terribles nous occasionnent de terribles inondations, mais le Grand Morin et même le Ru du Mesnil, ont contribué par le passé à l'économie locale de la vallée avec des moulins alimentés par les rivières, permettant de produire par les meules de l'huile, des farines, ....

Aujourd'hui, seuls subsistent quelques bâtiments de cette belle histoire du passé, certains moulins ayant été hélas détruits, comme celui de Champigny ou de la Rouette alimentés par le Mesnil (ce dernier étant situé sur la commune de Quincy-Voisins à Moulignon), ou plus récemment celui de Hérouin (sur le site des anciens abattoirs à Pont-aux-Dames).

Le Grand-Morin, rivière navigable, prend naissance à Lachy, au nord-ouest de Sézanne et se jette dans la Marne à Condé-Sainte-Libiaire et Esbly. Sa longueur sur le territoire de Couilly est de 3.900 mètres. Aujourd’hui, la rivière n’est plus utilisée pour la navigation. Outre les promeneurs qui profitent l’été de sa fraîcheur, ou les membres de clubs de kayak qui utilisent les barrages des anciens moulins, les pêcheurs de l’association de pêche "l'Epinoche" ou d’autres passionnés de pêche, viennent attraper carpes, perches, tanches et autres truites dans la rivière.

La rivière au passé : l’économie du Grand-Morin

En 1877, entre les communes de Couilly et de Saint-Germain, on dénombrait 9 moulins à eau. En suivant le cours de la rivière, on peut apercevoir les moulins de Gilles ou de Martigny, de la Sault (moulin à tan), d’Arnoult ou du Petit-Pont ou de Herrouin(moulin à grain), de Talmé (moulin à huile) et enfin de Quintejoie (moulin à grain).

Sur le ru du Mesnil, deux moulins de minoterie étaient en activité : celui de Champigny, et celui de la Rouette. Aujourd’hui ne restent que les décombres de leurs édifices.

En 2006, sur le site des abattoirs de Pont-aux-Dames, un incendie a ravagé le moulin de Herouin. La perte est hélas définitive et constitue l’épilogue d’une lente et longue déchéance (le bief est depuis longtemps envasé et recouvert de friches...).

Au-delà des activités de de moulins et tanneries, signalons que jusqu’au début du 20ème siècle, le Grand-Morin était relié, par une porte à canal, à la branche alimentaire du canal de l’Ourcq par Esbly. Par ce passage, les péniches venaient chercher les denrées et les matériaux qui étaient transportées par voie fluviale.

Cette porte, située à St Germain-sur-Morin, non loin du Pont reliant nos deux communes, a été fermée et une action intercommunale tente de restaurer cette branche alimentaire qui s’envase progressivement.

A Couilly, il était fréquent de retrouver la rue principale sous l’eau, les crues de 1910 voire de 1958 sont ainsi restées dans les mémoires. Plus récemment, il arrive de temps en temps que des maisons aient les pieds dans l’eau. En juin 2016, les rivières se sont cruellement rappelées à nous, le village ayant subi une inondation très rapide (avec un comportement atypique lié à l'apport très rapide des ruisselements d'eaux de pluie générés par l'urbanisation galopante de certains secteurs, sans intégrer les outils de gestion et de rétention de ces eaux de pluie). L’urbanisation galopante des environs a renforcé ce caractère naturellement fougueux de la rivière. Pour gérer ces crues subites et les écrêter, le syndicat intercommunal du Grand-Morin a mis en place un système de gestion de la rivière basée sur le pilotage concerté des barrages encore en fonctionnement mais dont l'éposiode de juin 2016 a hélas démontré son insuffisance. Ainsi, il avait été possible depuis une dizaine d’années, de réduire sensiblement la fréquence et la gravité des inondations à Couilly, nous savons aujourd'hui que ces moyens doivent être complétés par la création de nouveaux bassins de rétention en amont dans la vallée.

De l’importance de la préservation des barrages

Le Grand-Morin est une rivière connue pour ses caprices. Elle est effectivement répertoriée comme un cours d’eau qui a un comportement de "torrent de montagne". En effet, la nature argileuse des terres des coteaux et l’afflux important d’eau provenant de ses affluents (Aubetin, Vannetin,...) impliquent l’apport soudain et massif de fortes quantités d’eau.

Certains barrages (comme celui du Moulin d’Arnoult) devront encore être rénovés, à un prix élevé. Toutefois, en regard du coût des dégâts matériels occasionnés par une inondation, sans oublier l’impact psychologique fort de retrouver sa maison dans l’eau, ces investissements mériteront d’être budgétisés dans les prochaines années ; c'est probablement dans le cadre intercommunal avec la récupération par cette dernière de la compétence associée en 2020 que les moyens devront être trouvés.

Au-delà, les barrages sont essentiels pour préserver le Grand-Morin tel qu’il est. Ainsi, sans les barrages, cette rivière serait peu profonde et ses berges s’écrouleraient sous l’effet de l’assèchement. Dès aujourd’hui, un habitant dont la maison est situé sur une île rencontre de réelles difficultés de soutènement, l’abaissement du niveau des eaux mettant à l’air des pilotis en bois (vieux de plusieurs siècles) et désormais soumis à la pourriture (car mis à l’air libre).

Plus largement, le S.A.G.E. des Deux Morins qui vient d’être mis en place cherchera à renforcer la gestion concertée des rivières et cours d’eau des bassins versants du Petit Morin et du Grand-Morin.

L’historique du village

Le village de Couilly, sur la rive droite du Grand Morin à quelques kilomètres de son confluent avec la Marne, a une origine très ancienne.

A l’époque gallo-romaine, la défense du pont construit à cet endroit au croisement de deux grandes routes, justifie sans doute l’établissement, au pied du coteau de Quincy, d’un camp militaire. On l’appelle "collis castrum" en latin, le camp sur la colline. De "collis castrum", on fit "colliacum" (le nom apparaît pour la première fois dans une charte de Charles le Chauve en 853), puis enfin Couilly. En 1096, les religieux de Saint-Germain des Prés, à Paris, qui étaient propriétaires du territoire du Saint-Germain, offrirent à l’église plusieurs reliques de Saint Georges, dont le corps leur avait été envoyé d’Espagne. La paroisse prit aussitôt ce saint pour patron et le pont de Couilly fut appelé pont Saint-Georges. Le chemin qui menait au pont s’appelait la porte d’En-Bas.

Le territoire de Couilly était fort étendu. Connu sous le nom de Vallée de Couilly, il comprenait les terres de Saint-Germain, de Montry et d’Esbly. Ces trois dernières communes furent distraites de Couilly, puis érigées en cures pendant le XIIè siècle. La commune a pris de nos jours le nom de Couilly-Pont-aux-Dames.

Pont-aux-Dames était un hameau à la sortie de Couilly sur la route de Crécy en Brie. Ce nom est devenu familier aux parisiens depuis que le fameux acteur Constant Coquelin y fonda au début du siècle une maison de Retraite pour les vieux comédiens sur l’emplacement d’une ancienne abbaye démolie à la Révolution.    

Brève histoire autour de l’abbaye de Pont-aux-Dames

Les visiteurs de la maison de retraite peuvent se demander où est le pont qui donna son nom à l’abbaye. En fait, celle-ci avait été primitivement fondée, en 1226, par Hugues de Châtillon, seigneur de Crécy, tout près du pont actuel de Couilly sur la rive du Morin, mais quelques années plus tard, sans doute chassées par une inondation de la rivière, les religieuses vinrent s’installer au hameau de Rus qui pris le nom de l’abbaye.

Un peu d’histoire romancée sur l’origine de l’abbaye...

Dans un ouvrage manuscrit conservé à la bibliothèque de Meaux, un prêtre contemporain de Bossuet, mais moins sérieux que son évêque, le curé Janvier, a raconté à sa manière la fondation de l’abbaye. Donc, selon le curé Janvier, " Hugues de Châtillon avait un page qui tomba fort amoureux de la femme de son seigneur, et essaya de le lui prouver. Furieux d’être repoussé par la dame aussi vertueuse que belle, le page lui déroba une bague et alla conter au mari que la châtelaine en gage d’amour la lui avait donnée. Le sire de Crécy entra dans une grande colère, fit attacher sa femme à la queue d’un cheval indompté qu’on lança au galop sur la route de Couilly. Le cheval vint s’abattre près du pont du Morin, ne traînant plus après lui qu’un paquet de chairs meurtries. Alors, pris de remords, le page avoua sa supercherie. Hugues de Châtillon fonda une abbaye sur le lieu où sa pauvre épouse avait expiré. Le page fut jeté dans une fosse profonde et condamné à mourir de faim."

A la vérité, aucun document d’archives ne confirme la version fantaisiste du curé Janvier. Quoi qu’il en soit, l’abbaye du Pont-aux-Dames, confiée aux religieuses de l’ordre de Citeaux, devint une des plus célèbres de France. Son histoire a été écrite par un historien peu suspect de complaisance pour les nonnes.

La réputation d’austérité des religieuses était telle qu’on leur confiait quelquefois la garde des belles dames au passé un peu turbulent. C’est ainsi qu’en 1774, on vit s’arrêter devant la porte de l’abbaye un carrosse d’où descendit la célèbre Comtesse Du Barry. Au lendemain de la mort de Louis XV, le nouveau roi avait décidé d’éloigner la favorite. Elle restera onze mois à Pont-aux-Dames, bien traitée d’ailleurs par l’abbesse, avant d’être autorisée à se retirer dans son petit domaine de Saint-Vrain près d’Arpajon. C’est là que les révolutionnaires vinrent la chercher pour la conduire à l’échafaud le 8 décembre 1793.

La Révolution fut aussi cruelle pour l’abbaye de Pont-aux-Dames. Les religieuses furent dispersées et les bâtiments vendus comme biens nationaux. L’acheteur fit tout démolir de fond en comble, y compris l’église et le cloître du XIIIè siècle, dont aucune gravure malheureusement ne conserve le souvenir. On peut trouver aujourd'hui, dans certaines maisons du village ou certaines devantures, des morceaux éparses de ces pierres qui consitutèrent l'abbaye de Pont-aux-Dames !

La Maison de Retraite des Artistes Dramatiques de Pont-aux-Dames

Plus tard, plusieurs maisons et un petit château moderne furent édifiés sur les ruines. Ce sont ces maisons que l’acteur Constant Coquelin racheta au début du siècle pour faire construire à leur place la maison de retraite des vieux comédiens. Le petit château sert de résidence au directeur et un petit musée du théâtre y a été installé.

Mais ce qu’il faut voir surtout, c’est le beau parc de la propriété. Coquelin a voulu y avoir sa tombe tout près de la maison où passent leurs dernières années ses camarades moins chanceux. On voit encore dans le parc un théâtre de verdure où bien souvent des comédiens célèbres sont venus donner des représentations au profit des anciens acteurs. On y voit aussi une fontaine dite de la Du Barry parce que selon la légende, la favorite déchue aimait venir mirer son visage dans le miroir d’eau.

Sous les grands arbres, le visiteur pourra évoquer son souvenir curieusement mêlé à celui des religieuses cisterciennes d’antan et à celui des gloires théâtrales d’hier.

Jusqu’au XVIIIè siècle, Couilly n’eût d’autre seigneur que le châtelain de Crécy, qui exerçait tous les droits de haute, moyenne et basse justice, de ban, de péage, de banalité, de rivière, etc..., saut le droit de bourgeoisie appartenant exclusivement aux habitants du lieu. A cette époque, un démembrement s’opéra en faveur du seigneur de Quincy, qui se rendit acquéreur des justices de Couilly et de Saint-Germain ; mais ce nouvel état de choses fut de peu de durée, et, en 1780, le seigneur de Crécy, qui était alors le duc de Penthièvre, rentra en possession de Couilly qu’il possédat jusqu’à la Révolution.

La commune dispose de la salle polyvalente "Robert Vallin", située rue du stade.

D'une capacité d'accueil de 200 places, elle permet d'organiser pour celles et ceux qui en auraient besoin, des soirées, fêtes ou événements familiaux. elle est proposée avec un ensemble de tables et chaises adaptées au capacités d'accueil. Une possibilité de location d'un espace bar et d'une cuisine permettant de réchauffer les plats est offerte. Elle est louée selon un tarif préférentiel pour les habitants du village, et peut être louée à un autre tarif aux habitants d'autres communes.

Cette salle est disponible sur réservation en mairie. Renseignements au téléphone en appelant le 01 60 04 02 24 ou par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La commune de Couilly-Pont-aux-Dames se situe dans le canton de Crécy-la-Chapelle, arrondissement de Meaux, sur la rive droite du Grand-Morin et s’étend en grande partie sur la pente d’une colline, au sommet de laquelle est assis le village de Quincy.

Couilly-Pont-aux-Dames est situé à environ 45 kms à l’est de Paris. Il est à 5 kms "à vol d’oiseau" à l’est de Disneyland Paris. Village situé dans la vallée du Grand-Morin, on y accède de Paris par l’Autoroute A4.

Il vous est possible de nous rejoindre par les transports en commun en utilisant la ligne A du RER pour Chessy, puis d'utiliser les services de bus qui proposent des arrêts dans le village (ligne 19 par exemple).  Vous pouvez également emprunter le train depuis la Gare de l'Est, pour rejoindre la gare d'Esbly où vous pourrez ensuite emprunter le tram-train qui vous amènera à la gare de Saint Germain-sur-Morin/Couilly-Couilly-Pont-aux-Dames.

Pour visualiser la localisation de notre village dans Google MAPS, cliquez sur l'image:

 

Renseignements, horaires, coordonnées des principaux services médicaux et d’urgence

Quelques numéros à connaître :


SAMU : 15 ou 01.64.39.01.70
Pompiers : 18
Médecin de garde : 15
S.O.S. Médecins : Consultations: 0825 56 77 00 - Visites à domicile: 0825 33 36 15 - Numéro national: 3624

Médecins généralistes:


Groupe Médical de Couilly : 01.64.63.12.12

Horaires du Secrétariat : du Lundi au Vendredi (sauf le jeudi après-midi)
8h30-12h00
13h30-18h00
 
Consultations:
Dr Jean François Legros, reçoit uniquement sur rendez -vous
(les rendez-vous peuvent être pris directement sur internet via Doctolib)

Pharmacies:

Pharmacie de St Germain sur Morin :
Tél. : 01.60.04.17.67
Ouverture tous les jours sauf le dimanche
de 9h à 12h30 et de 14h00 à 19h30.

Pharmacie de garde  :
Dans tous les cas, (après 20h00 en semaine ou le week-end) appeler le commissariat de Meaux au 01.60.23.32.17 ou s’y déplacer à l’adresse suivante :
Commissariat de Police : Avenue du Président Salvador Allende - 77100 MEAUX

Dentistes:

Dr. Béchard :
39 quater Rue Pasteur
77860 Couilly Pont-aux-Dames
Tél : 09 87 76 71 58

Infirmières:

Mme Christein Bénédicte
Quai du Morin - 77860 Couilly Pont-aux-Dames
Tel: 01.64.63.51.75   Mob: 06.09.58.04.55
 
Mme Lansiaux Marianne
Quai du Morin - 77860 Couilly Pont-aux-Dames
Tel: 01.64.63.51.75   Mob: 06.03.70.96.54

Ambulance:

ACR Ambulance
7 Rue de Moulignon, 77860 Couilly-Pont-aux-Dames

Clinique vétérinaire:

Dr Corinne et Eric Demey et Delphine Baert, vétérinaires :
4 bis avenue constant coquelin
77860 Couilly-pont-aux-dames –
Tél : 01.64.63.10.49
Site internet http://www.clinvetalois.fr

 
APPELS D'URGENCE

Appel d'Urgence Européen : 112

Gendarmerie (Nuit et Jour): 17

Pompiers: 18

SAMU: 15

Gendarmerie de Crécy-la-Chapelle (Jour): 01 64 63 80 42

Mairie de Couilly-Pont-aux-Dames

46 rue Eugène Léger

77860 Couilly-Pont-aux-Dames

01 60 04 02 24
Horaires d'ouverture du secrétariat : 
Les lundi, mardi et jeudi de 09h00 à 11h30 et de 13h45 à 17h30

Le vendredi de 09h00 à 11h30 et de 13h45 à 18h30

Le mercredi et le samedi de 09h00 à 11h30

La Poste

Rue Eugène Léger
77860 
Couilly Pont-aux-Dames
36 31 (numéro non surtaxé)
du lundi au vendredi de 9h00 à 12h00 et de 14h30 à 16h45

Le samedi de 9h00 à 12h00

Cabinet médical

Groupe Médical du Grand Morin

Quai du Morin

77860 Couilly Pont-aux-Dames

Horaires d'ouverture du secrétariat : 
Du lundi au samedi de 08h00 à 12h00 et de 13h30 à 19h30

Le samedi fermeture à 17h00

01 64 63 12 12

Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie

13 Rue du Général de Gaulle,

77120 Coulommiers

01 64 75 38 90

Sous Préfecture de Meaux

Cité Administrative du Mont Thabor
27 place de l Europe

77109 MEAUX Cedex
 01 60 09 83 77

Pôle emploi

12 boulevard Jean Rose

77100 MEAUX
Horaires d'ouverture : 

Du lundi au Jeudi de 09h00 à 17h00

Le vendredi de 09h00 à 12h00
Web: www.pole-emploi.fr

Secrétariat Assistante sociale

Maison des solidarités

15 boulevard du Maréchal Galliéni
77400 LAGNY SUR MARNE
01 64 12 43 35

Caisse d'Allocations Familiales (C.A.F.)

21/23 avenue du général Leclerc

77024 Melun Cedex
 0 810 25 77 10

Caisse Primaire d'Assurance Maladie(C.P.A.M.) 77605 Marne la Vallée cedex 03
3646 du lundi au vendredi de 8h00 à 18h00
Centre des impôts

Cité Administrative du Mont Thabor
21 place de l'Europe 

77337 MEAUX Cedex

Maison de la justice

Palais de justice de Meaux

Avenue Salvador Allende 

77100 MEAUX
 01 60 09 03 60

EDF / GDF Meaux 4 avenue du Maréchal Foch
77109 MEAUX Cedex
 0 810 77 24 77
VEOLIA : Eau et Assainissement
Maison de la jeunesse

3 route de la Chapelle

77580 CRECY LA CHAPELLE
 01 64 63 75 39

Pour les déplacements quotidiens ou occasionnels, un certain nombre de solutions de transports s'offrent à vous. C'est indéniablement un plus pour notre village que de disposer de ces moyens de transport tout en habitant dans une commune aux paysages et au cadre ruraux.

  • Autoroutes
    A4 donnant accès à A1 et A104.

 

  • Dessertes routières
    Les principales dessertes routières sont :
    L’autoroute A4  de Paris  à Strasbourg via Reims et Metz
    La RD 934 de La Ferté Gaucher à la Porte de Vincennes qui coupe l’A4  à Couilly Pont aux Dames et la  N104 à hauteur de St Thibault des Vignes
    La RD 936 qui rejoint l’A4 à hauteur de Magny-le-Hongre au sud et au Nord à hauteur de Quincy Voisins
    La D 231 de Lagny sur Marne à Provins

  • Flux de circulation routière en Ile de France
    Plus d'informations sur les flux de circulation : cliquez ici :sytadin

  • Lignes SNCF
    Gare de Saint-Germain/Couilly par Gare d'Esbly (ligne Paris Est - Meaux)
    Gares RER de Bussy-Saint-Georges, Chessy, Serris et Torcy / Gare TGV Marne-la-Vallée Chessy
    Plus d'informations sur les dessertes SNCF  : cliquez ici: transilien
  • Lignes de bus
    Les lignes 4, 12, 19 et 70 sont disponibles pour vous acheminer vers Meaux ou la Gare RER de Chessy Marne La Vallée, entre autres. Plus d'informations sur les dessertes et horaires de Bus: cliquez ici: Transdev

 

  • Les taxis
    Pour vous aider dans vos déplacements, nous vous indiquons aussi les coordonnées des taxis du village :
    Taxis ERIC :06.08.93.58.53 - site internet http://www.eric-taxi-couilly.com/.
    FRANCOIS Alain : 01.60.04.71.08 / mobile : 06.07.85.80.43
    Taxi BRUNO : mobile : 06 07 43 15 04

 

La restauration scolaire est un service municipal proposé aux enfants scolarisés à l’école Fabre d’Eglantine, de la petite section de maternelle au CM2.

Ce service est tenu et encadré par du personnel communal sur l’ensemble du temps de la restauration.

Pour toutes inscriptions à ce service, se référer au règlement intérieur communiqué à chaque nouvelle rentrée scolaire.

 

Pour obtenir les pièces jointes, cliquez sur REGLEMENT_INTERIEUR , LIVRET_D_INSCRIPTIONTARIFS , LES MENUS

 

Quelques informations générales pour mieux connaître votre village.

  • Les habitants de Couilly-Pont-aux-Dames s'appellent les colliaciens.
  • Au 1er Janvier 2020, nous étions 2 184 colliaciens.
  • Le village fait une surface de 4,8 km2
  • 3 cours d'eau irriguent Couilly-Pont-aux-Dames : Le Ru du Corbier, Le Ru du Mesnil et le Grand-Morin.
  • 2 écoles primaires et maternelles :  L'Ecole publique Fabre d'Eglantine, l'Ecole privée sous contrat Sainte Thérèse.
  • 1 collège : L'institution privée sous contrat Sainte Thérèse.
  • 1 église classé Monument historique : L'église Saint Georges. 

Les statistiques générales de notre village sont disponibles à l'insee.

 Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

Coupé au d’argent à Saint-Georges sur son cheval terrassant de sa lance un dragon renversé, le tout d’azur, au pont en dos d’âne de trois arches d’argent, celle du milieu plus grande, maçonné de sable.